Edouard Michael

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Oeuvres pour grand orchestre :

La Vision de Lamis Helacim  poème symphonique pour grand orchestre (E. Ricordi)

La Reine des Pluies  poème chorégraphique pour grand orchestre. 8′  (E. Choudens)

Les Eléments pour grand orchestre. 11′  (non édité)

– Trois Mondes  oeuvre symphonique pour grand orchestre. 14′  (non édité)

Suite Druze trois pièces sur des modes anciens pour orchestre, (musique légère)11′ (non édité)

La Tragédie de Massada Evocation historique pour orchestre 33 ‘ (non édité)

Concerto pour violon et grand orchestre. Trois mouvements. 30′  (non édité)

Symphonie pour grand orchestre. Trois mouvements. 30′  (non édité)

La Vision de Lamis Hélacim

Poème symphonique pour grand orchestre 10′ – (Editions Ricordi)

2 Grandes Flûtes, 1 Petite Flûte et 3ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en la, 2 Bassons, 1 Contrebasson, 4 Cors en Fa, 3 Trompettes en Ut, 2 Trombones Ténors,
1 Trombone Basse, Timbales.Percussions (3 exécutants) : Xylophone, Tambour de basque, Grand Tam-Tam grave, Cymbales, Triangle, Tambour militaire, Glockenspiel à marteau. Célesta, Harpe, Cordes.

Indications du compositeur sur la partition:
Cette oeuvre qui est construite sur des modes exotiques évoque la méditation d’un mystique oriental sur le sens de la Vie et de la Mort, ainsi que sur l’étrange révélation qui en est découlée.

Dans une présentation générale du compositeur et de ses oeuvres parue en 1963, la Revue Musique écrivait au sujet de cette oeuvre :
« Création par l’Orchestre National de la R.T.F. (direction Manuel Rosenthal). Le sous-titre « La Vision de Lamis Helacim » fait allusion à une expérience mystique de l’auteur. C’est une oeuvre à tendances philosophiques où il s’interroge sur le « Pourquoi » de toute chose, sur le sens de la vie et de la mort. La forme de l’oeuvre est ternaire : A B A2. Un thème (A) est exposé et développé, puis employé comme Passacaille huit fois de suite (B), la huitième récapitulant l’exposition. Le caractère oriental de l’oeuvre est dû à l’emploi de modes exotiques. »

“Devant une salle comble, l’Orchestre national présentait hier soir, au théatre des Champs-Elysées, trois ouvrages nouveaux.Tout d’abord La Vision de Lamis Helacim,  brève page symbolique de M. Edouard Michaël, marquée d’un sobre orientalisme, qui fut fort applaudie.Né en Angleterre, mais d’ascendance orientale, Edouard Michaël est déjà connu du public parisien par une Messe — deux fois donnée à la Radio, par une symphonie pour cordes et plusieurs ouvrages de musique de chambre. ”    Janv 1962 Le Figaro, Dernières minutes.

Extraits des Cahiers Musicaux de la R.T.F. n° 7 – 3ème année (à l’occasion du concert de janvier 1962) :
« Pour comprendre la portée du poème symphonique d’Edouard Michaël, « La Vision de Lamis Hélacim », il faut savoir que, né en Angleterre, mais ayant vécu une partie de son enfance à Bagdad et marqué par les philosophies orientales, ce compositeur approfondit sans cesse une forme de pensée à laquelle il demande son équilibre d’homme et d’artiste. L’un des points essentiels de cette pensée est la relativité de ce qui nous apparaît comme définitif, l’interdépendance de faits qui, pour nous, sont absoluments distincts, voire opposés. Ainsi, la vie est le complément, le contraire et peut-être la justification de la mort, de la même façon que se succèdent le jour et la nuit, l’inspiration et l’expiration. Ainsi, les rythmes profonds qui scandent l’Univers ne sont que l’amplification de ceux qui, à une échelle réduite dans le temps et dans l’espace, marquent notre propre vie. Un perpétuel recommencement naît de chaque mouvement, et, si la mort succède à la vie, il n’y a aucun doute qu’à son tour, la vie succède à la mort.
Lamis Hélacim est un penseur hindou qui, obsédé par le sens de la vie et de la mort, eut une étrange révélation lui affirmant la continuité de notre condition humaine. Edouard Michaël a voulu traduire l’angoisse, la méditation, et finalement la révélation du sage dans cette oeuvre qui, intitulée « Poème symphonique », est en réalité la correspondance sensible des résonnances que peuvent créer chez un artiste le recueillement et la réflexion à propos de tels problèmes. »La Vision de Lamis Hélacim » est construite en trois parties enchaînées.
Tout d’abord, c’est une page calme et grave qui correspond à la méditation orientale sur la vie. Une mesure de silence absolu suit, symbole du temps et de la mort et aussi de la réalité. Puis, immédiatement après vient une passacaille formée de huit variations. Les sept premières sont la signification des sept phases du cycle du devenir; la huitième tend à exprimer le mystère qui lie la vie à la mort. La musique suit cette courbe et cette tension émotionnelle, en suggérant la lutte que doit mener le penseur. Enfin, le dernier volet du tryptique rappelle que la vie revient, et confirme ainsi la régularité et la fatalité immuable du rythme universel. »    F.-Y. B.

L’oeuvre a été exécutée en 1962 par l’Orchestre National de la R.T.F. sous la direction de Manuel Rosenthal.

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La Reine des Pluies

Poème Chorégraphique pour grand orchestre 8′  (E. Choudens)

Grande Flûte, Petite Flûte et 2ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en Si bémol,2 Bassons, 1 Contrebasson, 4 Cors en Fa, 2 Trompettes en Ut, 2 Trombones Ténors,Tuba, Timbales,Percussions (4 exécutants) : Cymbales, Grand Tam-Tam Grave, Grosse Caisse, Tambour militaire, Xylophone, Glockenspiel à marteau, Triangle, Tambour de basque, Vibraphone.Célesta, Harpe, Piano, Cordes.

Sur la partition, de la main du compositeur :
Selon un certain culte africain, pendant les périodes de sécheresse, la tribu choisit une jeune fille qui est promue « Reine des Pluies ». Elle est initiée au cérémonial magique destiné à provoquer la pluie.
Dès que tombent les premières gouttes commence une danse rituelle qui devient de plus en plus frénétique à mesure que l’averse augmente.

L’oeuvre a été exécutée en 1963 par l’Orchestre de Lille dirigé par Raymond Chevreux. La même année, une autre exécution a eu lieu en Australie.

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Les Eléments

Musique chorégraphique pour grand orchestre. 11′  (non édité)

Grande Flûte, Piccolo et 2ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en Si bémol,
2 Bassons, 4 Cors en Fa, 4 Trompettes en Si bémol, 2 Trombones Ténors, Trombone Basse, Tuba, Timbales,Percussions (2 exécutants) : (1) Grand Tam-Tam Grave, Grande Cymbale Suspendue, Cymbale 2 plats, Glockenspiel à marteau, Triangle(2) Tambour militaire, Grosse Caisse, Célesta,
Harpe, Piano, Cordes.

Sur la partition, de la main de l’auteur : Musique tonale et directe, ne prétendant pas être à l’avant-garde, mais destinée à apporter force et élévation à l’auditeur.

Quatre mouvements :
1 – Prithivi – Terre : Pesanteur, lutte, souffrance.
2 – Vayu – Air : Subtilité, invisibilité, mystère
3 – Apas – Eau : Fertilité, croissance, jaillissement
4 – Agni – Feu : Force, destruction, inexorabilité.

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Trois Mondes

Oeuvre symphonique pour grand orchestre. 14′ – (non édité)

Trois Mouvements :
1 – Du fond des brumes
2 – Gémissements du vent
3 – Rite

Grande Flûte, Piccolo et 2ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en Si bémol,
2 Bassons, 4 Cors en Fa, 3 Trompettes en Ut, 2 Trombones Ténors, Trombone Basse,Tuba, Timbales,Percussions (3 exécutants) – (1) :Grand Tam-Tam Grave, Glockenspiel à marteau, Triangle, (2) : Tambour de basque, Cymbale 2 plats, Grande Cymbale Suspendue (3) :Tambour Militaire, Grosse CaisseCélesta, Harpe, Piano, Cordes.

Sur la partition, de la main du compositeur : La musique d’aujourd’hui étant devenue froide et intellectuelle, je souhaite que cette oeuvre tonale apporte des couleurs musicales et orchestrales stimulant l’imagination et éveillant un sentiment vivant.

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Suite Druze pour orchestre 11′ (non édité)

Trois pièces sur des modes anciens :
1 – Lamentation d’une veuve
2 – Le Roi et la Bergère
3 – Fête barbare

Grande Flûte, Piccolo et 2ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en Si bémol,  2 Bassons,
4 Cors en Fa, 3 Trompettes en Ut, 2 Trombones Ténors, Trombone Basse, Tuba, Timbales,Percussions (3 exécutants)  – (1) :  Grand Tam-Tam Grave, Glockenspiel à marteau, Triangle (2) : Tambour de Basque, Cymbales 2 plat., Grande Cymbale suspendue (3) : Tambour Militaire, Grosse CaisseCélesta, Harpe, Cordes.

Sur la partition, de la main du compositeur :A une époque où la musique est devenue purement intellectuelle, glaciale et même brutale, je souhaite que cette oeuvre modale, d’une grande simplicité, apporte un peu de beauté et d’exaltation aux auditeurs. Les quintes, quartes et octaves dans l’harmonie sont voulues. Musique légère, descriptive.

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La Tragédie de Masada

Evocation symphonique en quatre mouvements pour grand orchestre. 33′ – (non édité)

1 – Les Romains devant Masada
2 – Dans l’enceinte de Masada
3 – Vents contraires et chute de Masada
4 – La nuit du suicide et spectacle tragique de désolation le lendemain

Grande Flûte, Piccolo et 2ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en Si bémol,
2 Bassons, 4 Cors en Fa, 3 Trompettes en Ut, 2 Trombones Ténors, Trombone Basse,Tuba, Timbales,Percussions (3 exécutants)  : Cymbale,  Triangle, Glockenspiel à marteau, Grand Tam-Tam Grave, Grosse Caisse, Tambour de basque, Tambour Militaire Harpe, Piano, Cordes.

Sur la partition, de la main du compositeur :
Cette œuvre est construite principalement sur certains modes orientaux et sur les intervalles d’octave, de quinte et de quarte consiérés comme intervalles sacrés dans les civilisations anciennes, notamment en Grèce, en Inde et en Extrême Orient. Elle est destinée à évoquer un sentiment de force, de courage indomptable et de noblesse. (voir ci-dessous le commentaire du compositeur)

L’œuvre a été exécutée par l’orchestre de l’ORTF dirigé par Alain Kremski. Elle  fait l’objet d’un disque vinyl édité par Montparnasse 2000.

Texte de la pochette du disque vynil, signé Édouard Michaël :
Dans l’ancienne Palestine en 69 après Jésus-Christ, le dernier bastion de résistance juive à la domination romaine se réfugia dans la forteresse imprenable située au sommet du Mont Masada, où les soldats, leurs familles, femmes et enfants formaient un nombre total de 960 personnes. Là, ils tinrent en échec pendant trois ans les légions romaines de Titus. Les Romains durent construire quatre grandes tours et une rampe d’accès pour atteindre le niveau de la forteresse. Finalement, aidés par des vents imprévus, ils réussirent à incendier les grands portails de bois.Quand les défenseurs de la cité virent leur défaite inévitable, prévoyant le châtiment exemplaire qui les attendait pour avoir osé défier la puissance romaine, plutôt que de se rendre, ils préférèrent se suicider collectivement. Chaque soldat exécuta tous les membres de sa famille avec leur assentiment, puis tous les soldats réunis tirèrent au sort pour choisir dix d’entre eux qui mirent à mort tous les autres. De la même façon, parmi les dix survivants, un soldat fut désigné qui tua les neuf autres, et enfin s’immola lui-même. Le lendemain, quand les Romains pénétrèrent dans Masada, ils ne trouvèrent qu’un silence de mort, jusqu’au moment où ils découvrirent avec stupéfaction le spectacle tragique qui s’étendait devant eux. Si extraordinaire fut le courage des rebelles juifs qu’il gagna l’admiration des Romains eux-mêmes qui avouèrent ne tirer aucune joie de leur conquête et firent aux dépouilles des rebelles des funérailles de vainqueurs.

Comment j’en suis venu à écrire la musique de « MASADA »

J’entendis parler de Masada pour la première fois par un grand ami à Londres, qui m’offrit un ouvrage illustré. L’histoire de Masada me fit une terrible impression, au point que j’en fus ému jusqu’au plus profond de mon être, avec l’étrange certitude…. que je l’avais mystérieusement vécu auparavant.

Mon ami de Londres me suggéra d’en faire un opéra. Et je dois admettre que j’ai ardemment désiré être installé quelque part afin de pouvoir consacrer mes énergies à cette immense tâche, mais les problèmes que je rencontrais alors dans l’existence ne me permirent pas d’être suffisamment libre pour m’y atteler.

Peu de temps après être allé en Inde, comme m’y appelait le destin, je trouvai suffisamment de temps pour composer une puissante oeuvre symphonique sur Masada.

Il s’agit d’une histoire d’héroïsme incroyable, de noblesse d’âme et de courage inhabituel. Symboliquement, c’est un suicide rituel pour mourir afin de VIVRE ! En vérité, ils ne sont pas morts, car, sur un plan plus élevé, ils ont triomphé.

En fait, les Romains eux-mêmes admirèrent tant le courage de leurs ennemis qu’ils avouèrent qu’il s’agissait d’une défaite pour eux.

Tandis que je composais la musique, j’imaginais ce que cela a dû être pour cette petite poignée de quelques centaines de rebelles d’être entourés par une innombrable armée de soldats romains, déterminés à sauver la face devant un tel défi.

Dans le premier mouvement de cette oeuvre symphonique intitulée « LA TRAGÉDIE DE MASADA », j’ai essayé de décrire d’un côté ce qu’a dû être la force militaire, brutale, impitoyable des Romains, et de l’autre côté, une poignée d’âmes nobles, luttant pour leur liberté et, en réalité, symboliquement, pour la liberté de toute minorité opprimée. Ce premier mouvement, « Les Romains devant Masada » exprime cette confrontation entre un pouvoir brutal et écrasant d’une part et une noblesse de coeur d’autre part. On regarde Masada comme d’en bas, depuis l’angle de vue des féroces Romains.

Le second mouvement, « Dans l’enceinte de Masada » décrit la vision des assiégés, regardant le camp romain depuis le haut de la falaise ; c’est une évocation d’espace, de beauté et de sentiments exaltés. A un certain moment, j’amène un thème qui est comme un avant coureur du vent fatal qui sera ultérieurement la cause de la chute de la forteresse.

Le troisième mouvement « Vents contraires et chute de Masada » évoque l’appel à la bataille, l’assaut furieux, la destruction par le feu de la porte principale, la violence du vent et du feu déchaîné.

Le dernier mouvement « La nuit du suicide et spectacle tragique de désolation le lendemain » est divisée en quatre sections continues :
a) le conseil et la délibération au sujet du suicide, les sentiments des soldats au sujet de ce qu’ils doivent faire, particulièrement à leur propre famille.
b) l’acte bouleversant de ce suicide en masse.
c) une musique funéraire très noble et d’une certaine façon triomphante alors que les Romains silencieux marchent parmi les cadavres.
d) Les Romains, en dépit de toute leur puissance, regardant avec un sentiment de défaite le lieu où la tragédie vient de s’accomplir.

J’avoue que lorsque j’ai écrit cette musique, je l’ai vécue jusqu’au fond de mon être et je fus même surpris parfois de me trouver en train de pleurer tandis que je la composais.
Édouard MICHAEL

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Concerto pour violon et grand orchestre.

Trois mouvements 30′ – (non édité)

Violon solo

Grande Flûte, Piccolo et 2ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 2 Clarinettes en Si bémol,
2 Bassons, 4 Cors en Fa, 3 Trompettes en Ut, 2 Trombones Ténors, Trombone Basse, Timbales,Percussions (3 exécutants) :  Triangle, Glockenspiel, Cymbales, Grand Tam Tam Grave, Grosse Caisse, Tambour de Basque, Xylophone, Tambour MilitaireCélesta, Harpe, Cordes.

A été joué par l’auteur dans la réduction pour violon et piano en 1948.

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Symphonie pour grand orchestre.

Trois mouvements 30′ – (non édité)

2 Grandes Flûtes, Piccolo et 3ème Grande Flûte, 2 Hautbois, 3ème Hautbois et Cor Anglais, 2 Clarinettes en Si bémol, 3ème Clarinette et Basse Clarinette, 2 Bassons, Contrebasson, 4 Cors en Fa, 3 Trompettes en Ut, 2 Trombones Ténors, Trombone Basse,Tuba, Timbales,Percussions (3 exécutants) : Grosse Caisse, Grand Tam-Tam Grave, Triangle, Glockenspiel, Cymbales, Tambour militaire, Tambour de Basque, XylophoneCélesta, Harpe, Cordes.

Sur la partition, de la main du compositeur :

Premier  mouvement : La naissance de la vie, sa croissance et ses luttes.a) (Lento espressivo). « Alors que je scrute les brumes de la destinée, je vois des puissances mystérieuses s’unissant et luttant sans cesse pour devenir « vie ». Et soudain, elle surgit triomphalement des brumes ! Une vie est née. Ainsi un miracle s’est accompli.b) (Allegro ma non troppo). Avec ce prodige a commencé la croissance de cette vie, avec ses joies, ses chagrins et sa lutte pour l’existence.c) (Lento espressivo). Je projette à nouveau mon regard dans les abysses du Destin et je vois les mêmes mystérieuses puissances luttant encore pour devenir toujours plus « vie ».

Deuxième mouvement : Le monde de l’Inconnu, le monde des mortsJe vois une âme qui jadis était « vie ». Elle tâtonne dans l’obscurité, essayant de scruter l’inconnu, et, voyant qu’elle n’y parvient pas, elle se laisse aller à un désespoir sans bornes, se résignant finalement avec une douloureuse impuissance à l’inévitable.

Troisième mouvement : L’Espoir et le Doute.Il s’agit d’une luttte entre l’espoir et le doute. Par moments, l’espoir demande : Pourquoi cette manifestation et où mène-t-elle ? » Et le doute répond avec désespoir : « A l’inévitable ». La lutte se poursuit entre l’espoir et le doute. Finalement, l’espoir s’affirme et l’oeuvre se termine par le triomphe complet de l’espoir sur le doute.

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