Edouard Michael
Oeuvres pour orchestre(s) à cordes
– Messe pour choeurs mixtes, deux orchestres à cordes, célestat, harpe, glockenspiel et percussions. 36 ‘ (E. Ricordi)
– Les Soirées de Tedjlah pour mezzo soprano, (vocalise) deux flûtes, piano et orchestre à cordes (mention Prix Vercelli). 20′ (E. Transatlantique)
– Initiation pour orchestre à cordes (sorte de symphonie). 18’30 (Editions Choudens)
– La Quête de Koussouda pour harpe et orchestre à cordes. 12’30 (non édité)
– L’Oracle pour orchestre à cordes (ou quatuor à cordes). 33’ (non édité)
Messe pour choeurs mixtes, deux orchestres à cordes, harpe, célesta, glockenspiel et percussions 36′ – (Editions Ricordi)
Sopranos, Alto, Ténors,
BassesTimbales, Grand Tam-Tam grave, Cymbales, Glockenspiel, Célesta, Harpe
Deux orchestres à cordes.
Cette Messe se compose des cinq mouvements habituels dans la liturgie catholique : Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus et Agnus Dei. Le texte est en latin.
Voir des appréciations et des commentaires sur cette pièce que le compositeur considérait comme la plus importante de son oeuvre.
Les Soirées de Tedjlah
pour mezzo soprano vocalise (ou un hautbois) deux flûtes, piano et orchestre à cordes (mention Prix Vercelli) 20′ – (Editions Transatlantique)
Cinq Nocturnes :
Mezzo Soprano (vocalise) ou haubois
Deux flûtes, Piano et Cordes (les parties de cordes peuvent être exécutées par un simple quatuor à cordes si nécessaire (contre-basse ad libitum)
Tedjlah est une conteuse. Chacun de ces cinq nocturnes exprime une histoire sans parole qui laisse à l’auditeur la liberté de voyager dans son imaginaire. L’oeuvre a été exécutée pour la première fois en 1960 sous la direction de l’auteur et une seconde fois en 1961 à l’Ecole Normale de Musique avec le concours de Noémie Pérugia sous la direction de l’auteur.
Initiation sur des Modes Anciens pour orchestre à cordes (sorte de symphonie) 18’30 – (Editions Choudens)
Trois mouvements :
1 – La Fontaine de Vie
2 – Rite d’Initiation
3 – Danse d’Exultation
L’oeuvre a été exécutée pour la première fois en 1968 par l’Orchestre de Lille dirigé par Victor Clovez et une nouvelle fois en 1969 par l’Orchestre de Nice sous la direction de Paul Mule.
La Quête de Koussouda pour harpe et orchestre à cordes 12’30 – (non édité)
Cinq mouvements :
1 – Angoisse et désir de Koussouda pour la Déesse de l’amour
2 – Le départ pour la quête du palais de jade.
3 – La lutte avec le dragon invisible
4 – A l’intérieur du palais de jade de la Déesse
5 – Le rituel d’initiation de Koussouda
Harpe, Cordes et cymbale antique (note mi) – cymbale antique ad libitum.
L’œuvre a été jouée en 2001 lors du festival « un printemps musical à Fresnes » à l’école nationale de musique (directeur de l’enm Jean Jacques Werner) dirigé par Hervé Moinard.
L’Oracle pour orchestre à cordes 33’ – (non édité)
Quatre mouvements :
1 – Le Prophète
2 – La Révélation
3 – L’annonce
4 – Psaume
Peut également être jouée par un quatuor à cordes avec contrebasse ad libitum.
Indications du compositeur sur la partition :
A part sa simplicité voulue, cette oeuvre est d’un caractère modal, à la fois archaïque et moderne.Elle est entièrement construite sur des thèmes et des éléments tirés des premier et deuxième mouvements. Le Scherzo et son Trio sont fondés sur le motif par lequel débute le premier mouvement, avec des rythmes différents. Le dernier mouvement est bâti sur des fragments tirés du deuxième thème des premier et deuxième mouvements. (Remanié à Madras, septembre 1973.)
Dans une présentation générale du compositeur et de ses oeuvres parue en 1963, la Revue Musique écrivait au sujet de cette oeuvre :
« Ecriture modale. Caractère à la fois religieux et dramatique. Les quatre mouvements sont construits sur la première idée du premier mouvement. L’Allegro moderato est écrit dans la forme sonate et sous-titrée « Le Prophète ». Le Lento : « La Révélation » est en trois parties A B A2. Le Scherzo : « L’Annonce » est de caractère mystérieux et de forme classique. Enfin l’Adagio final « Psaume » est une récapitulation de tous les éléments thématiques et il est construit dans la même forme ternaire que le Lento. »